Les réseaux sociaux comme Twitter sont méconnus et peu utilisés par de les formateurs et les étudiants. Ils peuvent pourtant être considérés comme une plateforme collaborative et un véritable vecteur d’ouverture sur le savoir.
Pour le formateur cela demande de rentrer dans le flux de l’information numérique avec les élèves et de faire abstraction de la représentation négative qu’il peut en avoir.
L’étudiant participe à l’élaboration en proposant son propre apport de savoir ce qui induit que les formateurs perdent leur monopole concernant celui-ci. L’utilisation de cet outil peut s’apparenter à la méthode pédagogique “JACOTOT”.
Cliquez le diaporama pour faire défiler :
[swf src= »http://journalatelier.net/wp-content/uploads/2012/12/twitter_et_formation.swf » width=640 height=480]
Le rôle du formateur dans ce schéma est plutôt celui d’un facilitateur d’apprentissage. L’étudiant pour sa part devient acteur de son savoir.
Ce modèle de pédagogie collaborative s’oppose donc à celui critiqué par BOURDIEU défini comme lieu de reproduction de l’ordre social et des modèles de pouvoir dominants.
Usages de Twitter en travail social
Twitter permettra à l’étudiant ou au travailleur social de :
- Créer et développer son propre réseau professionnel et garder un lien permanent avec ses acteurs.
- Assurer une veille professionnelle sur un sujet thématique précis en utilisant le hashtag. Cette veille peut être juridique, politique (syndicale) et par champ professionnel.
- Communiquer avec des professionnels ou des associations.
- Créer son propre « mini réseau intranet” au sein de son institution.
Rétroliens/Pingbacks